Sur la route de Sylvergord

Pour l'instant, tout se passait bien, pas d'ennemis à l'horizon, pas de dangers....

Il nous faut trouver Arkan en premier, car si nous tombons sur Kardaïs, voir sur Xalick, je crains le pire! Bakayarö, Tyr m'avait dit de ne pas me fier aux apparences.... Cette phrase ne cesse de tourner dans ma tête... Suis-je en train de commetre une erreur en accusant Xalick? Pourquoi tout concorde...

Elle secoua la tête. Elle n'aimait pas montrer ses doutes, mais ceux-ci la taraudaient...

l'homme oiseau avait bien faillit perde la trace de Délia, par prudence en la voyant disparaître sous les fourrés il avait signalé aux centaures de rejoindre Sylvergord.

Délia était en pleine zone protégée par Kardaïs, les centaures ne mirent pas longtemps à la retrouver. Arrivant au triple galop, ceux-ci s'immobilisèrent lance pointée devant le petit groupe de Lyrandya.

Halte là! dame Délia de Milthrande, je vous présente les respects du seigneur de la citadelle noire.
Que venez vous faire en terre chaotique?

Bien qu'ennemis, aucun lieutenant de Kardaïs n'avait intérêt à dérroger à la procédure vis àvis de Délia...

-Je ne crois pas à l'erreur Grande dame Délia, mais bien au pouvoir de l'intelligence et de l'instinct, écouter vôtre coeur et la raison de vôtre dieu, votre décision sera la bonne et... il allait lui dire autre chose quand soudain il dégaina aussi vite que l'éclair dans ses yeux et...-

-Des monstres, ...-

Il se tenait près à en découdre avec eux si besoin était. Il se mit en position de combat et visualisait son attaque, si combat il y aurait, les monstre ne marcheraient plus. Il ne les écoutaient pas, il attendait un mot de la Grande dame Délia pour en finir avec eux.[/i]

La première chose que fit Délia fut de dire à Bakayaro de ne pas bouger. Puis elle hésita... Elle pouvait les geler et filer, mais... Ils diraient tout à Xalick. Bon sang, ce qu'ils devaient absolument éviter arrivait!

Restant calme, bien que nerveuse, elle répondit d'une voix pleine d'assurance:

Baissez vos armes, à moins que vous ne craignez que deux personnes puissent vous battre à plate couture! Puisque vous êtes là, conduisez-moi à votre Général, je serais quitte de le chercher moi-même.

C'était quitte ou double. Ils ne pouvaient plus échapper à Kardaïs de toutes façons.... Alors autant garder la tête haute.

Même pour le capitaine centaure la demande de la dame était d'une folle impertinence! venir demander audience avec Xalick sans se faire annoncer, sans escorte et en entrant sur les terres de Kardaïs telle une espionne....

Toutefois les ordres de Xalick étaient clair: ne jamais attaquer une personne qui ne résiste pas. Il fit signe à ses hommes de relever leur lance.

Dans ce cas dame de Milthrande, je dois vous demander de déposer vos armes, vous et votre garde du corps et de nous suivre sans opposer de résistance.
Je ne puis vous conduire à Xalick à moins de cela.

*Le sort en est jeté....*

Très bien...

Elle décrocha son ceinturon et le tendis au chef ds Centaures, se séparant ainsi de sa lame. Elle incita Bakayarö à en faire autant, le sentant réticent.

Toutefois, Xalick semblait avoir donné des consignes précises.

*Patience Délia, tu auras tes réponses. Patience*

Nous vous suivons.

* Donner mes armes à des monstres jamais.*

Grande Dame Délia, je vous conjure, je ne puis accepter une telle requête, au grand jamais je m'en suis séparé, elle sont né avec moi et périront avec moi, elle ont été forgée avec mon sang. je vous doit la vie Grande Dame Délia ... Mais je préfère la mort à cette requête.
Nous n'avons pas besoin d'eux pour trouver Xalick, nous le trouverons de nous même et qu'il vienne de lui même avec honneur, au lieux d'envoyer ses monstres quérir la Grande Dame Délia de Lyrandya

Il était rouge de colère, les idées lui venait à une vitesse folle, ... il se prépara à toute éventualité, même à psalmodier.

Bakayarö, je crains que vous ne trouvions Xalick avec des lances en travers de la gorge.... Et les tuer ne ferait qu'empirer la situation. Je vous en conjure, remettez-leur vos armes....

Délia gardait un oeil sur les centaures, prête à user de sa magie au besoin, bien qu'elle esperait ne pas avoir à en venir à cette extrémité.

Le capitaine centaure fut vexé du terme "monstre" un instant il envisagea d'exausser le souhait de cet homme: périr avec ses armes à la main.

Mais Délia s'était rendue, il était tenue par le respect des prisonniers de ne pas ordonner leur éxécution. Aussi il tâcha de se montrer diplomate:

Messire il vous faut choisir entre l'honneur et la vie, je ne puis vous faire rencontrer mon général aisni armé, conduiriez vous des hommes armés et belliqueux à votre précieuse dame sans les désarmer?

Nous ne sommes pas des monstres et je m'efforce de respecter vos droits de prisonniers, ne m'obligez pas à recourir à la force.

Sur ce il attendit que Bakayarö dépose ses armes.

Tiassane n'avait cessé de marcher après sa rencontre avec... Le "chef" de Kardaïs. Elle pensait à ce type, elle n'arrivait pas à se défaire de son image, surtout à ce qu'il disait, elle ne le comprenait qu'à moitié, c'était trop peu! Ce type était-il vraiment différent? Ou, vu son rang, il n'estimait pas necessaire de lui consacrer du temps? Ou tout simplement il savait qu'il allait la rencontrer à nouveau et qu'il tentait de lui faire baisser sa garde, ce qui en fai un type encore pire que les autres? Ces pensées l'obsédaient, pourquoi n'arrivait-elle pas à s'en défaire? Ce n'était pas possible de vivre si, à chaque rencontre, une floppée de pensée toutes plus sinueuses les unes que les autres, l'encahissaient? La réponse était simple : il y avait longtemps qu'elle ne vivait plus, c'était un stade primaire de survie, rien de plus ; les humains la fesaient de plus en plus ressembler à une bête sauvage traquée pour sa peau.

*Raaa, il faut que j'arrête de m'embrouiller l'esprit de la sorte!*

Bien qu'elle ne se souciait pas du décor environnant, elle était restée camouglée à la vue de quelqu'un de normal, ce sort était très pratique : il coutait peu, durait longtemps, et la plupart des races avaient des sens trop peu évolués pour la détecter, en général. Elle vit alors un groupe : une femme, un homme et des truc bizarres à quatre pattes, le nom ne lui revenait plus, pourtant, elle avait appris beaucoup sur les populations vivant sur cette île, mais il y avait ce nom qui refusat de revenir. Bah, homme-cheval était un parfait "nom de rechange"... Elle s'avanca, perduadée qu'elle fesait une erreur, mais la situation était trop attirante pour qu'elle ne jette pas un oeil de plus près. Elle n'entendit que le mot "force", venant de la part d'une être de sexe masculin, ça ne l'étonnait même pas, toujours à vanter leur muscles ceux-là... Enfin, quand on a rien d'autre à vanter, c'est un peu normal... Elle était préssée de voir la suite...

Bakayarö se sentait dans une impasse, il rendait ses armes et il n'avait plus d'honneur, il les gardaient, il désobéissait aux ordres de la Grande Dame Délia. Mes une effluve vint le parcourir en son fort intérieur, l'esprit de son grand père et...

Je me rend, donc suis prisonnier, alors dans le respect, je serai prisonnier avec mes armes et ce, en gardant mon honneur.
Parole de Samouraï, mes armes resterons en leurs fourreaux en vôtre présence et celle de Xalick tant et aussi longtemps que la vie de la Grande Dame Délia et la mienne ne seront en danger.

Il fit le geste avec la parole, et mit ses armes dans leurs fourreaux.

Il avait dit ses mots avec une résonance dans la voie que tous, avait clairement entendu, comme si il y avait quelqu'un d'autre en lui.

Tout centaure qu'il était, ce n'était pas un capitaine de Kardaïs pour rien, bourrin, bagarreur certes, mais pas stupide.
Personne sur Rykros n'avait envie d'affronter Délia de Milthrande. De plus il connaissait les samouraïs, leur façon de penser était étrange mais on ne pouvait nier que l'honneur était leur fer de lance. Selon le code du bushido, un acte énnoncé par la parole est considéré comme déjà exécuté.

Qu'il en soit ainsi, suivez moi, comme vous le souhaitiez je vais vous conduire au général de la citadelle noire.

Encadré par les centaures, Délia et Bakayarö furent emmenés dans le quartier général de Sylvergord.

(suite là bas)

Délia et Bakayarö étaient sortis de Sylvergord, et les pensées ne cessaient de tourner dans l'esprit de la Dame.

Si un jour on lui avait dit qu'elle s'allierait à Xalick et Arkan, elle aurait certainement prit l'emmeteur de ces dires pour un fou.... Et pourtant...

Elle jeta un oeil à Bakayarö. L'emmener à la Citadelle était-il vraiment une bonne idée? Si l'esprit fait partie de cette quatrième force, n'allait-il pas mettre Lyrandya en danger?

Puis elle songea à l'itinéraire. Allez à Soldanor pour calmer les esprits ou tracer tout droit en passant par Sylveed?

Le temps pressait, elle enverrait un emissaire à Soldanor, tandis qu'elle irait donner elle-même des nouvelles à Sylveed...

La centauresse gardait un silence total, suivant le rythme. La route était longue, mais elle avait l'habitude de trotter ou de galoper pendant des heures, ce n'était pas cette petite marche qui l'inquiétait.

Certes, certains centaures la regardait avec un peu trop d'attention à son goût, et elle se retint une fois ou deux de décrocher une ruade bien envoyée. Ca aurait fait désordre...

Alors elle s'occupait l'esprit à autre chose que les combats à venir.

Au pire des cas, son furet lui tiendrait compagnie, car, il faut bien le dire, malgré le nombre de soldats présents, elle se sentait bien seule.

Régulièrement Xalick retournait sur l'arrière des troupe pour parler à ses généraux, leur confier le rapport des éclaireurs et d'une manière générale pour se montrer à ses hommes et jauger l'état de fatigue.

Il ralentit son cheval à hauteur de Lodhetia.

Vous avez l'air perdu. J'imagines que vous n'avez jamais fait partie d'une armée.
Ne vous laissez pas intimider, ces mâles sont parfois un peu rustre mais dans la bataille chacun d'entre eux est susceptible de vous sauver la vie, vous n'êtes pas seule, essayez de vous intégrer.

Il aurait pu repartir à l'avant de la troupe mais il attendit tout de même la réponse de Lodhetia.
Elle était encore jeune et solitaire, mais elle avait un potentiel non négligeable.

La centauresse était dans ses pensées lorsqu'elle entendit la voix de Xalick s'adresser à elle.

Lui accordait-il un interet particulier ou son malaise se voyait-il tant que cela?

Les centaures se tenaient à carreaux devant leur général, c'en était même risible.

S'integrer. Il lui demandait de s'integrer. Et on fait ça comment au juste? Elle doutait qu'envoyer promener les autres n'était pas une bien bonne idée. Mais qu'un seul l'effleure d'une manière inconvenue et il saurait de quel bois elle se chauffe!

Elle voulu opter pour garder le silence, mais Xalick semblait rester pour une éventuelle réponse. Alors il fallait bien trouver quelque chose à répondre à ça...

Je vais essayer... bien que je ne sache pas comment m'y prendre... Toujours pas de nouvelle de la Dame de Milthrande?

Elle se demandait si cette dernière ne cherchait pas à leur tendre un piège, puis elle se ravisa, se disant que ce n'était pas vraiment l'habitude des Paladins. Du moins, de ce qu'elle en savait.

Elle gardait à l'oeil le centaure qui se trouvait à sa droite et qui, soit ne savait pas marcher droit, soit prennait un malin plaisir à la bousculer régulièrement...

Le général chaotique aurait bien pu sourire devant le comportement de la centauresse et de ses "prétendants" si l'heure n'avait pas été aussi grave.

Toujours aucune nouvelle. J'espère en apprendre plus à Sylvergord.

Il talonna doucement son cheval et repartit à l'avant de la troupe.

Quelque chose le dérrangeait, mais il ne savait pas quoi. Il sentait quelque chose. Quelque chose qu'il n'avait pas ressentit depuis longtemps, une atmosphère lourde qui laissait présager d'un évènement particulièrement rude.

Il n'aimait pas ça, depuis quelque temps il avait trop l'impression de ne plus rien contrôler sur ses propres terres...

Naryar restait à côté de son enseigne, il avait pu regarder un peu la composition de son escadron.

*Du soutien? Mouais, je voyais plutôt ca comme une compagnie de soins ou de lanceurs de sorts de soutien! Bon, on verra...*

Pensif, il se mit à se concentrer mentalement sur ses pouvoirs et se préparait mentalement au combat qui suivrait.

Un peu après, il leva la tête... L'atmosphère était un peu lourde, et son instinct lui disait qu'il allait se passer quelque chose bientôt.

Il regarda autour de lui, légèrement sur ses gardes.

Elle regarda son général s'éloigner, observant sa monture. Elle se demanda brièvement si quelqu'un avait déjà chevauché ainsi un centaure...

Puis, posant les yeux sur les ailes de Xalick, se demanda tout bonnement pourquoi il ne volait pas.... Il irait plus vite que de faire du tape-cul!

Elle sourit doucement à cette idée, decrochant cette fois-ci un violent coup de pied à celui qui se trouvait à sa gauche, et à qui elle avait déjà demandé de garder ses distances.

C'était raté pour l'intégration...

Evidement, la fière ligne droite et bien rangée en prit un coup, le tumulte pu s'entendre... et elle en avait strictement rien à secouer!

Gatts et son acolyte étaient dans la ville et Xalick se pointait. C'était une occasion à ne pas manquer!
L'endroit était idéal, en se débrouillant bien elle porterait un coup important.

Syphiis traça une rune au sol et incanta rapidement une formule démoniaque. Le rune se mit à briller et un immense portail s'ouvrit...

Du portail déboulèrent dans un chaos total divers démons diformes: les démons de la main de dieu, plus d'une cinquantaine qui attaquèrent directement en direction du flanc droit de l'armée de Kardaïs.

Leur seul vue était effrayante.
La marque de Gatts réagit instantannéent.

Syphiis, elle, alla droit vers la tête du convoi: elle n'avait qu'une seule cible. Lançant ses fils invisibles elle trancha net deux centaures et les dirigea ensuite vers le cheval de Xalick.

La centauresse avait une petite chance dans l'attaque: elle ne se trouvait ni devant, ni à droite.

Par contre, les cris la mirent très vite en alerte: il se passait quelque chose.

Elle sortit du rang, comme d'autres d'ailleurs, se saisissant de son arc dans un premier temps. Puis elle galopa pour prendre un peu le large et avoir une vue d'ensemble sur la question. Il semblait que le front droit était attaqué. Elle n'avait rien vu concernant Xalick, trop loin pour ça.

Elle aperçu un de ces démons et elle se figea. Quelles monstruosités!

Elle se reprit,, les jambes légèrement flageollantes, et décocha sa première flèche droit sur l'un des démons.

Naryar, l'héritier du chasseur de démons, sentit directement l'aura démoniaque.

Il se tourna immédiatement vers le portail ouvert, et vut les démons qui en sortaient.

En une fraction de seconde, toute sa puissante musculature se tendit, et dans son esprit jaillirent des paroles sombres, puissantes, oubliées, un ancien alphabet runique dont l'esprit qui partageait le corps de Naryar se servait. Aussi sec, il les hurla, et fit un mouvement très brusque de gauche à droite, avec sa main gauche.

"Xarash Athrign, Urnagz Gothnaydr Nagzhôn!"

Une corde de flammes tournoyante siffla vers le démon en face de Naryar. C'était une version à distance du "Fouet de feu" (1d10 feu).

Ensuite, il fit apparaître son arme de force d'une pensée, et attendait fermement l'assaut Démon. Le draconien allait certainement parer ou esquiver le premier coup, pour pouvoir riposter encore plus fort.

Xalick perçu immédiatemment les démons, il dirigea de suite sa monture face à eux, il n'eut pas le temps de comprendre ce qui arriva, il vit juste un déplacement étrange arriver vers lui et s'envola de justesse.

Son cheval termina avec les quatres pattes coupées. Saisissant son batôn il reconnu alors son adversaire: Syphiis!!!!
Elle était donc bien derrière tout cela, mais elle avait visiblement décidé de se débarasser de lui en premier...

Son arme s'entoura d'un souffle de vent et il piqua vers sa cible avec une rapidité extrême, laissant une légère traînée de poudre mauve derrière lui, il exécuta trois mouvements avec son bâton, les deux premiers envoyant un souffle tranchant de vent vers sa cible, le dernier rabattu au corps à corps.

Syphiis esquiva les deux premiers et ses fils tentèrent de s'interposer, elle réussit à le lacérer par deux fois sur les côtés sans pouvoir le trancher à cause de sa vitesse.
Elle dû parer le dernier coup en levant son épée, encore dans le fourreau, contre le bâton du général chaotique.

Ainsi tu as survécu... Ou alors tu es revenue...

Les yeux d'or de Syphiis étaient pour le moins impressionants, quelque chose avait changé en elle.

La défense s'organisa rapidement, les centaures n'étaient pas des imbéciles. Une solide ligne de défense composé de porteurs de pavois et de lances se plaça en barrage, ils s'armèrent de courage pour ne pas trembler devant ces monstruosités. Les hommes-oiseaux commencèrent des passages par le ciel avec des lances et des rapières.

L'invocation de Naryar réussit, le feu sombre fut fort peu aprécié par celui qui l'encaissa, mais il ne mouru pas, le draconien fut ensuite chargé par ce qui pourrait être associé à une gueule remplie de dents sur pattes.
Les flèches de Lodhetia faisaient mouche, mais elle semblaient se planter dans un amat de chair insensible, il fallait un grand nombre de traits pour que le démon se décide enfin à sentir quelque chose.

Naryar serra les dents, se baissa un coup, puis prit un grand élan et partit en courant vers le Démon, son arme bien contrôlée. Rien de tel qu'une autre charge pour arrêter une charge.

*Toi mon vieux... je vais t'arracher la tête!!!*

Prenant un élan dirigé vers le bas, avec en même temps ses ailes et ses pieds, le draconien décolla d'un bon mètre du sol, en frappant en même temps un grand coup "asséné" de bas en haut en plein dans la gueule de la créature. Celle-ci risquait de voir ses deux gencives coupées net.

Ensuite, évidemment, Naryar retomberait... mais le Démon risquait de s'en prendre encore un autre, opposé au premier.

La jeune centauresse se rendit vite compte que ces flèches ne servaient pas à grand-chose. Ce qui signifiait qu'elle allait devoir combattre au corps à corps et donc s'approcher de ces horreurs...

Elle prit sa lance, morte de peur il fallait bien l'avouer et se mit en ligne à coté d'autres lanciers.

Plusieurs centaures se mirent à charger, bien en ligne et serrés, et elle en fit autant lorsque le groupe dont elle fesait partie chargea droit sur les créatures.

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