La plaine aux abords de la citée

La nuit était sur le point de tomber quand dans la plaine une lueur différente de celle de l'aurore scintilla.
Le ciel commencait peu à peu à ce remplir d'étoiles, et sur l'herbe était allongée une silhouette. Le temps passa et les étoiles avaient déjas bien tournées dans le ciel, quand la lune fit son apparition éclairant de sa pâle lueur d'argent la plaine ainsi que les murailles de la citée.

La silhouette allongée dans l'herbe commenca alors à ce mouvoir et ce releva. C'était une jeune femme avec des ailes dans le dos, l'une d'un noir profond et l'autre d'un blanc immaculé. Regardant les étoiles hautes dans le ciel, elle ne put reconnaitre aucune constellations.

D'une petite voie calme et mélodieuse elle sembla ce parler à elle même sans pour autant savoir si quelqu'un ou quelque chose pourrait l'entendre.

Mais ou suis-je? Dit-elle alors qu'elle passait la main sur son front.

Elle ce releva alors complettement faisant face à la lune qui éclairait son visage. Elle remarqua alors qu'a ses cotés était une rapière, elle la prit dans ces mains et s'appercut qu'elle était magnifiquement belle et très bien équilibrée.

Elle appercut au loin, dans la lueur de la lune, les murs de la citée. Elle ce dit alors qu'elle devrait y aller pour avoir au moins quelques réponses à ces questions.

Dans un mouvement vif et gracieux, elle déplia ces ailes laissant ainsi s'échaper quelques plumes qui plannèrent dans le vent nocturne. Elle prit une légère implusion et s'envola dans la direction de la ville.

Arrivé à quelques centaines de mètres de la porte, elle se posa et replia ces ailes, et fit le reste du chemin à pied.

Elle admira l'architecture des remparts et de la porte et elle vit alors le blason de la ville ou était inscrit le nom de cette dernière.

O.d.a.r.i.a... *épela t-elle*... Cette ville porte le même nom que moi...

Elle avanca alors vers la porte pour rentrer dans la citée, mais celle-ci était close et des gardes étaient dans des abris de chaque cotés de l'imposante grille.

Deux gardes sortirent des abris, au sommet des imposantes tours. Il s'agissait de deux archers Elfes. Ils avaient observé l'arrivée de l'étrangère. Une femme-oiseau... Plutôt rare par ici. Et voire cette race fesait penser immédiatement à Kardaïs.

Pas de jugement hâtif, avait ordonné leur chef.

Soit.

L'un des deux Elfes prit la parole:

Halte-là étrangère. Déclinez votre identité et les raisons de votre présence ici.

Malgré le léger préjugé qui leur trottait en tête, il n'y avait dans leur attitude ou leur voix aucune agressivité.

Odaria, regardait quelque peu incredule les gardes au sommet de leurs tours.

Je me suis Odaria, et je viens juste chercher un endroit ou me reposer pour le reste de la nuit!
Je n'ai pas de mauvaises intentions, croyez-moi!

Ce qui était vrais, elle n'vait vraimment pas de mauvaises intentions et elle voullait simplement un endroit un peu plus confortable que de l'herbe humide pour finir sa nuit. Pour le reste elle ce demandait vraimment ou elle était tombée et c'était donc son seul objectif pour l'instant.

Un léger sourire moqueur vint s'afficher sur les lèvres du garde.

Odaria... Vous ne saviez pas quoi répondre alors vous avez lu l'enseigne de la ville?

Le second garde vint lui chuchotter:

Cette fille à l'air paumée, on a qu'a la faire surveiller, mais elle n'a pas l'air mechante.

Le premier Elfe répondit alors à la femme-oiseau:

Vous pouvez entrer, mais pas de bêtises.

Dès que les portes s'ouvrirent, Odaria fut surveillée, le chef des gardes venait d'en donner l'ordre. S'il s'avérait qu'elle appartenait à Kardaïs...

Odaria leur fit un grand sourir pour les remercier et entra dans la citée qui portait le même nom qu'elle.

*Cela ne peut etre une coincidence, il y a forcement un raport!*
Ce dit-elle alors qu'elle arpentait la route principale à la recherche d'une taverne encore ouverte ou elle pourait manger et se reposer dans un bon lit.

La race des hommes-oiseaux n'étaient pas inconnus des quelques passants encore present dans la rue, mais ce qui devait les troubler au plus haut point était que chaques ailes étaient de couleur différentes.

Dans un premier temps, Odaria eu quelque peu pitier de ces poivreaux dans la rue et voulut passer en les ignorant, mais apparament ils n'étaient pas de cette avis.

Quand le premier lui mit la main au panier, elle fut surprise quelque peu et le second la poussant vers une ruelle, la mit terriblement en colère. Aussi bien envers ces "agresseurs" mais aussi contre son manque de viligance.

Elle se laissa alors pousser dans la ruelle, et au dernier moment fit un pas suplementaire pour mettre de la distance entre elle et les deux ivrognes. Elle fit un demi-tour très rapide avec un éclair qui scintilla lors de son mouvement.

Le premier comprit vite malgrès son état d'ébriété ce qu'était cette éclair, car il se retrouva avec une lame de rapierre posée sur sa gorge.

Vous feriez mieux de partir! Je n'ai pas envis de faire couler le sang cette nuit!
Lanca Odaria d'un ton sec et les yeux enflammés par la colère.

Denzer, heureux d'avoir enfin pu quitter Naagared, avait décidé de ce diriger vers le sud et de commencer sa quête de connaissance à Odaria.
C'est ainsi qu'il se présenta à l'entrée de la ville en cette fin d'après midi. Il portait un long manteaux et par dessus celui-ci un bodrier auquel était un rapière de qualité moyenne. Il leva alors les yeux vers les portes pour savoir ce qui l'attendait:*Est-ce-qu'il y a des minables qui vont me côntroler.*

Je m'appelle Robert Dubois. Je suis bucheron et un lapin, non un ours...un ours à tête de lapin a mangé toute mes provisions alors, ben j'viens chercher à manger. répondit Denzer en restant fixer le garde qui avait pris la parole.

Et comment je fais pour manger ?*que des racistes*
demanda Denzer, tout en continuant à fixer le garde.

Denzer commençait à faire demi-tour mais s'arrêta, regardant dans le vide, absorbé dans ses pensées: *Je ne peux pas tout gâcher pour ça. Il faut absolument que je puisse accéder aux bibliothèques des plus grandes villes. Si je veux devenir puissant je vais devoir me contrôler et être plus docile quelques temps. Il va falloir être passiant mais ça en vaut le coup.*
Puis il se retourna vers les gardes et s'excusa le plus sincèrement possible: Veuillez me pardonner messieurs, je n'aurez pas dû jouer à ça avec vous. Mais j'ai pris la mauvaise habitude de mentir très facilement, car c'était l'une des seules façons que j'avais de me défendre dans ma jeunesse. Je m'appelle Denzer, je suis érudit et souhaiterait faire dans la bibliothèque de votre ville, je vous serais donc très reconnaissant si vous ne me teniez pas rigueur et me laissiez rentrer. A moins ma race soit interdite ici. (Denzer changea de ton lors de ça dernière phrase pour tenter de mettre en peu de pression sur les garde.)
*Ce n'est que temporaire et un jour ou l'autre ils trembleront rien qu'à mon nom!*

(Denzer va maintenant essayer de contrôler du mieux qu'il peut ses troubles du comportement et mettre son orgueuil au second plan)
Je ferais de mon mieux.
Denzer entra dans la ville. Et s'avança au hasard des rues plogé dans ses pensées:
*Bon je suppose que la bibliothèque et assez grande et je vais sans doute passer plusieurs jour ici. Il faut donc que je trouve une auberge ou je ne serais pas trop déranger et bon marcher.
Il va aussi falloir que je m'organise pour rassembler les informations que j'ai pris à Naagared et celle que je vais trouver ici. Je trouverai bien un grimoire dans une des boutiques de la ville.*
Denzer commença alors à porter son attention à l'endroit où il était et se mit en quête d'une auberge à l'apparence plutôt modeste et paressant assez calme.

(suite à l'auberge du "Lutin Joyeux")

En cette heure avancée, les rues étaient désertes et Denzer atteint les portes sans problème.
Il dût reveiller endormit dans la guérite près des portes pour que celui-ci lui ouvre les portes. Ce qu'il fit non sans quelques jurons.
C'est ainsi que Denzer prit le chemin d'Ogred.

(suite à Ogred)