Proche du village

Au petit matin, alors que Delia et Bakayaro preparaient leurs affaires pour repartir, un homme oiseau vint ce poser près d'eux.

Il s'avenca vers eux comme s'il savait très bien qui ils était et posant un genoux à terre délivra un message de la par de Arkan:

Le chevalier libre Arkan Kashue, vous envoit ce message Dame Delia!

Il lui tendit alors un parchemin écrit de la main même d'Arkan et portant le sceau de l'armée libre.

Delia, je sais que tu compte nous rejoindre Xalick et moi! Cependant je me vois dans l'obligation de te prévenir que ce serait une très mauvaise idée de te retrouver avec nous surtout sans tes forces.
Xalick et moi somme parvenus à un accord afin de lutte tous ensemble contre ce qui est en train de ronger l'île de Rykros et tente aussi de nous monter les uns contre les autres.
Chacun devra chercher à savoir l'indentitée de ceux ou celui qui est derriere tout cela et maintenir un contact constant avec les autres afin de pouvoir déjouer plus facilement ces plans.

Durant cette trève, il ne sera porté aucun coup de la part de l'un ou l'autre contre ses adversaires directs, seul le quête de la vérité compte.

ps: Evite de passer par des cols, ca ne te reussis pas trop en ce moment!

Le messager resta la, un genoux à terre attendant une reponse de Delia

Bakayarö vit cette bête volante comme un présage de malheur, la Grande Dame Délia pouvait bien dire que ce n'était pas des monstres, mais pour Bakayarö c'était pire.
Il regarda la scène et c'était approché de cette créature volante, une main sur son No-Dachi attendant l'ordre de l'alléger de sa tête, mais se ne fut point le cas. Il vit la Grande Dame Délia aller plus loin et donner son message, il était clair pour Bakayarö que les problèmes commençait.
Si, comme il avait entendu, Arkan avait rejoint l'armé de Xalick, ils ne devaient pas mettre la Grande Dame Délia de coté, et tout laissait croire à cela.

Va, messager volant, porte le message!

Bakayarö s'approchait de la Grande Dame Délia et...

Allons nous toujours au même endroit!?

Il dit cela en ne quittant pas des yeux le messager s'envoler. * Quand même utile ces monstres!.*

La Grande Dame Délia venait de séduire Bakayarö par sa fougue.
* Elle est déterminée, combative, puissante et pleine de fougue, elle est parfaite.* Les yeux dans la brume il répondit...

Bien dit Grande Dame Délia, allons-y et vite.

Bakayarö et la grande Dame Délia allaient à la rencontre de deux armées , et ils n'étaient que deux. Il se mit à rire fort et profond, il aimait cette idée comment arriveraient-ils à deux, il l'ignorait, et c'est ce qui lui plaisait, l'improvisation. Il était sur que la Grande Dame Délia avait fait demander du renfort avec sa chouette mais restait que elle et lui arriverait avant les renforts.
Il regardait les paysages durant tout le voyage et trouvait cette Île très belle et clémente, en plus il avait de l'action, c'était délectablement exquis.

Cela faisait une journée que le guerrier solitaire avait quitté les marais, traversé le fleuve et pénétré le domaine de la ville d'Acaala.
Il s'arrêta un moment et contempla le ciel. Des nuages commençaient à se former, bientôt il pleuvra.
"Je ferais mieux de me dépêcher d’arrivé dans cette ville avant qu'il ne pleuve."
Il se remit donc en marche. Chemin faisant, il repensa au tavernier qui lui avait dit qu'à Acaala, il serait susceptible de trouver des mages et érudit.
C'était donc pour ce rendre dans cette citée qu'il avait parcouru durant des semaines les marécages de Runika.
Quand les deux gardes à l'entrée de la ville virent une silhouette massive approchée à pied, il faisait nuit et la pluies tombait depuis presque une heure. Peu à peu, les deux soldats purent avoir une idée plus précise sur l'arrivant. Haut de presque 2m00, drapé d'une cape noire dont la capuche était rabattue sur sa tête. Ils ne pouvaient distinguer que la fumée s'échappant de sa bouche ainsi que..... Ce devait être une épée qu'il portait dans le dos, mais les deux hommes n'en avaient jamais contemplé de cette taille.
Quand l'étranger arriva à leur hauteur, ils croisèrent leurs hallebardes devant lui et d'un ton ferme:
- Halte étranger! Que viens-tu faire ici? La nuit, ce n'est pas si simple d'entrer en ville. Qui es-tu?
C'est une voix grave et monocorde qui s'échappa de la capuche:
-Mon nom vous importe peu, je cherche juste un endroit ou passer la nuit au sec.
L'homme marqua une courte pause et reprit:
- Soyez sur que si j'avais de mauvaises intentions, vous serriez déja morts.

Le garde bien que plus petit que Gats semblait vouloir le regarder de haut.

Si vous le prennez sur le ton des menaces, je ne pense pas que vous soyiez le bienvenus ici... ou du moins de nuit!

Je vous conseil de rafraichir vos idées avec la pluie qui tombe et de revenir demain voir si vous pouvez entrez!

Disant cela, il fut prit d'un fou rire moqueur enver gats et regardant son équipier, ce dernier fut lui aussi prit d'un fou rire.
Il ne faut pas trop leur en vouloir, ce sont de simples gardes qui son de faction la nuit et c'est, outre les jeux de cartes, le seul passe temps qu'ils ont.
Ils refusent l'entrée aux gens simplement pour voir leurs réactions et ce moquer d'eux, mais le prblème était que ces 2 compères n'avaient pas assez d'intelligence pour savoir s'arreter, et juste assez d'instinct pour refuser l'entrée aux personnes qui risqueraient d'attirer des ennuis.

Mais cela Gats ne le sais pas!

Gats regarda ses interlocuteurs avec un oeil mauvais. Mais sachant qu'il devait entrer en ville afin de dormir au sec, il répondit sur le même ton:
- Ce n'était pas une menace, mais une simple remarque appuyant le faite que je ne viens pas en ennemi.
Il fit un pas en avant:
- Laissez moi entré maintenant.

Pff! c'est même plus drole!

D'habitude, les voyageurs en sont presque a nous suplier!
Mais bon, allez-y!

Ils donnèrent un coup dans la porte qui s'ouvrit; manoeuvrée par d'autres gardes à l'interieur de la ville.

La porte donnait sur une grande rue montante, bordée de chaque cotés par des commerces, dont la plus part d'ailleurs étaient des forges et des armureries... cela à cause de la forte population naine qui deumeurait ici et qui y vendait les produits des mines de la montagne toute proche. Tout les commerces avaient portes et fenetres clos du fait de l'heure tardive.

Un peu plus haut dans la rue, ce trouvait une auberge, avec son enseigne typique de ce genre d'établissement. C'était une mule de couleur grisatre sur un fond vert, elle était l'emblème de l'auberge en relation avec l'équidé que les nains utilisaient pour transporter leurs marchandises, d'ou le nom de: "La Mule Grise"

L'artère principale était déserte, et dans la rigole centrale coulait l'eau de pluie.

Gats marchait lentement dans les rues désertes de la ville endormie. Tous ses sens étaient en alerte. Qui pouvait deviner quel malfrat pouvait surgir d’une ruelle pour tenter de lui dérober son or ?
Arrivé devant la porte de l’auberge, il posa sa main sur la poignée et ouvrit la porte. Il n’y avait pas grand monde dans la salle commune. Gats entra, et se dirigeât vers le comptoir derrière lequel se trouvait l’aubergiste :
- Pourrais-je avoir une chambre pour la nuit ainsi qu’un repas chaud ?
Dit-il sur ton monocorde. Sur ces mots il baissa sa capuche et attendit la réponse du tenancier en le regardant avec son expression froide habituelle.

(suite à l'auberge de la mule grise)

Acad arriva sans trop de mal au coeur de son transfert de lieux par cette machination de téléportation, à la Khain. Sorti de son engourdissement de transport, Acad fit un tour sur lui même. ° Basta, je m'y reconnaît pas moi!!°
Perdu sans savoir dans quel direction allé, il prit le temps de trouver un arbre non loin et d'y faire son escalade pour y voir un peu plus loin.

Après deux tentative manqué, Acad réussi sur un autre arbre moins grand mais plus accessible. Il y vit non loin un petit village et si Khain avait dit vrai, il était donc a l'Est de ce petit village donc, le village était vers l'Ouest. Il descendit et commença sa marche vers le petit village.
° Tien, je vais peut être me refaire une bourse pour le dédommagement de se voyage, qui sait!???° Puis il se souvint des paroles de Khain, " ... Mais que je ne te voit pas retourner vers Délia ... et ... faites attention à ne pas sympathiser avec n'importe qui... "
° Pas fou se Khain, il doit croire, ...euhhhh il doit savoir que je vais retourner vers la paladine car il parlait comme si il était capable de le savoir!??? ° Acad songeait à ceci durant sa marche, puis soudain il eut une éclaire de vision ...° Bien Oui! Comme avec l'anneau de Khain, la paladine a fait une magie pour savoir où j'allait me retrouver avec l'anneau, alors Khain à fait de même avec l'anneau qu'il m'a donné, ... Mmmmm pas bête cet homme, mais Acad non plus, Hi, hi, hi... Il me faut quand même mon salaire de la paladine, sinon à quoi servirait les gnomes des profondeurs comme moi, ...Va savoir.... °

Il poursuivit son chemin vers le village, prenant bien soit de ne pas être repéré par quiconque. Des bruit étrange e inquiétant sortait de partout dans la forêt, Acad n'avait jamais entendu autant de bruit que cela, les grottes et les passages souterrains étaient souvent dans un silence mortelle, et non comme à la surface, un bruit constant rôdait aux oreilles fines du gnome, le vent faisait hurler les branchages et le craquements des troncs laissait l'imagination d'Acad, fortement s'extérioriser. Celui-ci n'ayant aucune peur de quoi que ce soit, n'était cependant pas gros dans ses culotte, dans cette environnement inconnu.

Puis soudain une odeur de tourte lui vint au nez, même si il avait la panse pleine, tel un nain boulimique, l'odeur lui donnait encore faim. ° HAAaa que le monde de la surface ont comprit l'effet apaisant de la bonne nourriture. Tien je vais m'approcher de cette bonne odeur.°

Suivant l'odeur de la tourte, Acad vit une petite chaumière de pierre à la cheminé fumante et à la fenêtre bien décoré, de deux tourte se refroidissant sur le rebord de celle-ci. Groumlchitoubruitdeventre, que fit son estomac, non pas que lui avait encore faim, mais tout simplement qu'il se lamentait déjà, de devoir encore être obliger de se remplir de nourritures.

Acad approchait tel un félin vers sa proie, chaude et odorante d'herbe salée, de beurre et d'une cuisson parfaite. Mais comble du malheur, il était trop petit pour atteindre le rebord de la fenêtre.

Il décida de faire le tour de cette petite chaumière, mais se prit les pieds dans un filet à jardinage, il trébucha et se prit le manche du broc en plein front. Il se releva mais était prit dans le fichu filet, il prit une inspiration calmante puis se libéra du filet. ° Bon, il était temps, mais qu'est ce qu'un filet fait à la traîne en plein bois, non mais, pourrait ranger ces truc chez... eux!? °

En se retournant il tomba face à face avec un immense chien, immense car il le dépassait d'une tête. L'animal jappa après lui en montrant les dents tout en bavant. Acad regardait autour de lui et ramassa un petit bout de bois à la traîne, ° décidément, ils pourrait faire un peu de rangement.° Puis le lança a la bebête. Le chien branla la queue et parti chercher le bout de bois. ° Enfin parti se baveux! ° Il alla pour aller sur le devant de la chaumière et le chien arriva en trombe avec le bout de bois à la gueule et mit ses deux pattes avant sur les minuscule épaule de Acad, qui se retrouva par terre avec le chien par dessus qui lui voulait continuer à jouer. Acad se prit de la bave en pleine figure, il jura en gnome et tenta de se libérer. Une fois fait, il se mit à crier au chien de s'en aller de sa route, mais rien à faire, la bête voulait jouer. Puis soudain le chien s'assit et laissa le bout de bois par terre, c'est à ce moment qu'Acad vit une ombre s'allonger par dessus de lui. ° Mince, je vient de perdre ma tourte! °

Acad se releva et ...
- Hé Ho, je ne suis pas une chose je suis un Snirfneblin et un illustre alchimiste, qui plus est, est attaqué par une féroce bebête qui me bave dessus pour me noyer. Non mais, il est à vous se, ... Se, ... Cet bête!?-


Acad épousseta ses vêtements et pointa sa main en direction de l'homme devant lui et ...
- Acadabratourix, pour vous servir, je peut, presque tout, à un prix presque raisonnable. Mais ne suis pas là pour vous aider, mais plutôt pour retrouver mon chemin, j'était perdu quand soudain une magnifique odeur des plus délectables m'a envoûté, ... ( Il regardait la porte d'entrée de la chaumière) et je me suis prit les pieds dans les multiple chose à la traîne de votre jardin puis je me suis fait attaquer par cet, heuuuu, se, ... Votre chien. Je crois que j'ai été blessé, ... Ouillllle, ha oui je me suis blessé au dos, ha misère, je ne pourrai plus rejoindre les miens qui ont inexorablement besoin de mes talent, pauvre eux, ils devront attendre, il va me falloir me reposer.-

Il prit appuie sur un manche de pelle, l'air peiné et...

- Ne vous en faite pas je ne vous tient pas responsable, votre hospitalité me feras un grand bien, par la suite je poursuivrai ma route, que vous allez m'indiquer, demain après un bon repas et une bonne nuit. Haaa je vous remercie du fond du coeur d'avoir cette compassion pour un pauvre et talentueux Snirfneblin, les miens vous remercierons.-

Il le regardait d'un air suppliant. Acad riait intérieurement, mais il était vrai qu'il était fatigué, il avait travaillé dur et accompli deux mission en une et voyagé au travers de portes dimensionnels qui lui avait enlevé beaucoup d'énergie, il fallait qu'il se repose et ce confortablement dans une chaumière devant une belle tablé de tourte, auprès d'un bon feu réchauffant et pourquoi pas bien blotti contre cette épaisse fourrure que possédait la bête baveuse. ° Mmmm cet bête me ferais une bonne monture! ° se dit il!

Ce fut une merveilleuse nuit qu'Acad passa cher le gentil paysan et son fidèle chien, qui en fait était une fidèle, qui avait eut une porté de chiot quelques mois auparavant; trois chien et deux chienne. Acad avait dormi emmitouflé parmi eut. Au réveille il avait bien mangé et le paysan lui avait offert l'une des chiennes dressé, en guise de remerciement pour la belle soirée qu'il avait passé avec Acad, qui lui l'avait fait bien rire de ses multiples histoires à dormir debout. Le paysan lui avait bien mentionné les quelques ordre et passe passe qu'elle pouvait faire; assit, couché, reste, va chercher, donne et fait la belle.

Acad l'appela Dac, la jolie chienne bouvier des flandres c'était vite amouraché de son nouveau maître Acad, et ne le quittait plus.

Après les remerciements réciproque, Acad donna une poignée de main au paysan puis après avoir mit une cordelette autour du cou de Dac, ils partirent tout deux en direction du village d'Acaala, que le paysan avait méticuleusement prit soin de bien indiquer le chemin à Acad.

Dans son avancé, Acad pensait à la façon de rejoindre la Paladine, sans que Khaïn puisse le savoir. ° Il me faudra me débarrasser de l'anneau le temps que j'irai la voir! ° Qu'il se dit, mais où, pouvait il bien la laisser!? Il regarda Dac avec une nouvelle vision.

Puis durant sa marche pensive, ils entrevirent le village droit devant eux.
Dac semblait contente de voir le village, ce qui lassait croire à Acad qu'elle y était déjà venu avec le paysan. - Toi ma belle Dac, je vais te faire faire une belle attelage avec une belle petite charrette et comme ça tu pourra tirer notre petite maison à nous deux, quand dit tu!?-
Comme si Dac avait entendu elle fit un mouvement approbateur, du moins, c'est se que pensait Acad.