Maison du gouverneur

Une fois arrivé sur le balcon, Nuam resta discret et ne chercha pas tout de suite à regarder à l’intérieur, il resta plaqué contre le mur adjacent. Son arbalète de nouveau en main il prit un instant pour se concentrer.

Pendant ces quelques secondes les bruits d’épée qui s’entre choque ne cessaient de s’amplifier, il faudrait faire mouche ou prendre le risque d’être découvert.

Sa concentration était extrême, il se décala et ne prit qu’un instant pour viser le general, cela n’était pas difficile sa tenue le faisait sortir du lot et c’est alors que le carreau parti tel un éclair en direction de ça tête, mais Nuam ne comptais pas se contenté de ça et sans même regarder le résultat de son tir, il était déjà entrain de recharger son arbalète…

Nuam prêt a tiré son deuxième carreau refit son apparition, mais c’est avec une certaine surprise qu’il vit le lieutenant s’écrouler. La précision du premier carreau avait était mortel et se fut une certaine fierté qui envahi Nuam, mais pas le temps de s’attardé le reste de la bataille ne le concerné pas et il ne fallait pas être vu.

Il rengaina son arbalète et descendit au plus vite du balcon, la précipitation le fit trébucher, il était encore un peu dans une légère euphorie. Il se releva aussi vite et contourna quelque maison pour éviter les plus grands axes du village on ne sait jamais un villageois trop curieux ou nain qui se serait rendu compte de l’assassina et qui serait sortie vérifier. Bref il fallait être discret jusqu'à son retour à la taverne.

*Bien Nuam te voilà débarrasser et quel tir celui la je m’en souviendrais .*

Voilà après avoir franchit quelque maison la taverne était en vue .

La troupe qui escortait la Dame Blanche et son garde du corps, arrivait en vue de la batisse la plus importante du village. Même de loin, on pouvait voir que de lourds combats y avait été donnés. Quelques nains étaient d'ailleur en train de déblayer et de réparer les murs ainsi que les toits.

Cependant ce n'est pas la que Arhes les conduisaient, il continua son chemin pour arriver au fond du jardin derrière la maison. Ici ce dressait un batiment à un seul étage, tout en longeur et au dessus de l'arche d'entrée il y avait un clocher avec sur ces flancs de nombreuses scultures notament des gargouilles de pierres faisant office de rigole pour les eaux de pluies. La nécropole étant dans un style très gothique bien que de taille modeste.

Pendant le trajet, Arhes répondit aux questions de Délia.

Je vais tout vous dire!
Il y a en effet eu une trahison qui à couté la vie à Grental! Cette trahison est celle du gouverneur même de Soldanor: Malkias!
Apparement il c'était ralié à Kardais et avait rejetté la souveraineté de Lyrandya sur ces terres! Grental était venus pour lui faire entendre raison... Mais il est tombé dans un piège, un assasin l'attendait et l'a...

Enfin, avec les renforts nains nous avons pus reprendre le contrôle et durant la bataille j'ai moi même oté la vie du traitre...Bien que je me demande maintenant si il n'aurait pas mieux valus le capturer en vie et lui faire subire un interrogatoire...


Finissant son recit, ils arrivèrent devant l'arche d'entrée de la nécropole.

Nous avons déposé la dépouille de Grental ici! Dit-il à Délia la tête basse de regrets.

Arhes restat avec ces hommes au niveau du portail de la nécropole.

Délia en entrant, pouvait admirer sur les cotés de la grande salle de nombreuses statues de pierre représentant les ancètres du gouverneur du village.

Au fond de cette salle, une pâle lueur bleutée répendait ses reflets sur les parois. Cette lueur avait comme origine le cercueil de glace dans lequel était enfermé la dépouille du général.

L'expression de son visage était empreinte de surprise et de regrets, comme si la mort l'avait fauché par surprise alors même qu'il avait encore toute la vie devant lui. Ces yeux grands ouverts témoignaient eux aussi de la soudaineté de sa mort mais on pouvait aussi deviner sur le coin de ces paupières des larmes... il était partit sans pouvoir revoir une dernière fois celle qui était dans son coeur et à qui il dédiait ces dernière pensées.

Bakayarö avait inspecté la nécropole avant que la grande Dame Délia y entre, ensuite il était ressorti puis avait patiemment attendu qu'elle se recueil avec son général.

Il se mit dos à la porte de la nécropole, faisant face aux hommes à l'extérieur. Il était impassible à leurs regards, se recueillant lui même avec Okada maintenant disparut à jamais.

À la sorti de la Grande Dame Délia, Bakayarö vit instantanément son mal aise, il s'en approcha puis...

-...-

Il ne pouvait rien dire ne faisant que la suivre. Il s'apercevait qu'elle chercha quelque chose mais en savais rien, donc il se contenta de la suivre et un point c'est tout.

* Elle est peiné et doit se reposer, elle en à beaucoup sur les épaules présentement, ... Elle ne m'écoutera pas, .... Mais il faudrait qu'elle se repose.*

Bakayarö ne savait pas quoi faire en sait moment, ayant lui même des difficulté à gérer certaine émotion.

Au moment au la Dame Blanche sortait de la nécropole, Arhes s'avanca vers elle. Sur son visage, on pouvait lire la tristesse de celui qui n'avait pas pus protéger son ami, son capitaine.

S'il y a la moindre choses que nous puissions faire pour vous, dites le!

Je renouvelle le serment que j'ai dejas passé devant vous il y a maintenant fort longtemps!

Il se mit alors face à Delia, posa un genoux a terre, baissa la tête et mettant la main sur son coeur prononca les mots du serment.

Devant Tyr, je jure de protéger la paix et la justice, de sauver les faibles et de faire le bien autour de moi!
Oh! Dame Blanche, je vous jure par ce serment fidélité et allégeance et ce aussi bien dans l'allégresse que l'adversité!

Je n'ai pas pus empecher la mort de Grental, et j'en suis navré! Mais je jure de tout faire pour rattraper ma faute!

Les yeux embrumés de tristesse, Arhes regardait le sol aux pieds de Delia, attendant sa réponse.

Bakayarö fut un peu suspicieux lorsque le Général dit "Oh! Dame Blanche, je vous jure par ce serment fidélité et allégeance et ce aussi bien dans l'allégresse que l'adversité!"

* Adversité!!! * Se dit t'il et * pourquoi!?*

Regardant la Grande Dame Délia lui donner l'ordre de rester avec lui il fit un mouvement du haut de son corps et sans plus, sans dire mot, sans façon. Puis se retournant vers le général il le fixa droit dans les yeux, profondément dans les yeux. Et quand la Grande Dame Délia une fois parti il dit au général d'un ton sec ...


-Vous jurez fidélité même dans l'adversité!? Pourquoi?-

Bakayarö resta de marbre son regard dans celui du général. Il ne clignait même pas des yeux, dans l'attente de la réponse.

D'un geste, il indiqua une batise dans le village un peu en contre-bas.

Le temple est la-bas!

Puis il regarda celui qui accompagnait Delia comme son ombre depuis son entrée dans Soldanor.
Ce type ne lui inspirait aucune confiance, trop sur de lui et trop protecteur avec la Dame Blanche comme si elle ne pouvait pas ce defendre toute seulle. Arhes était dans l'armée de Lyrandya depuis de nombreuses années et c'était Delia elle même qui l'avait promus au rang de Capitaine sous les Ordres du General Grental.
Alors les regards suspicieux et réprobateur de l'étrangé était pour lui comme des insultes... il n'aimait vraimment pas ce type, comme s'il y a vait que lui qui comprenait la Dame et pouvait veiller sur elle. Délia avait derrière elle tout un pays et une armée entière de fier et loyaux soldats qui donneraient leur vie pour elle ou ces principes... tout simplement parce qu'ils croyaient en elle.

Puis après ces réflexions interieurs, il répondit d'un ton tout aussi sec à Bakayaro, tout en soutenant son regard.

Parce que nous sommes dans des temsp troublés, la trahison est parmis nous, la preuve celle du gouverneur de cette ville. La guerre frappe à notre porte, déjas des hommes valeureux et cher à nos coeurs sont morts... alors le temps de l'adversité est venus et nous nous devons nous soldats de l'armée de Lyrandya de protéger les valeurs auquelles nous croyons.

Et puis cela fait partit des mot rituels du serment! et ils ne sont pas prononcé à la légère!

Parlant de trahison, son regard s'intensifia sur celui de Bakayaro comme un avertissement qu'il en devrait jamais la trahir ou lui faire du mal, car sinon il viendrait lui même lui faire payer!